A3, drawing on paper, inking with Photoshop, printed and painted with gouache
2013/02 - 2019/03 - 13h20
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– Impressions sur toile depuis la boutique (livraison en France métropolitaine seulement) :
30 x 40cm : http://www.michelravey.com/peintures/sean-connery-james-bond-dr-no-1962-30×40/
20 x 20cm : http://www.michelravey.com/peintures/sean-connery-james-bond-dr-no-1962-20×20/
Prints, canvas prints, stickers, phone cases, pouches, towels, bags, etc.
Prints, impressions sur toile, stickers, protection pour téléphones, sacs, trousses, serviettes, etc.
– Pixels : https://pixels.com/featured/sean-michel-ravey.html
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Cette peinture est un portrait d’après une photo promotionnelle du film « James Bond 007 contre Dr. No » (en anglais seulement « Dr. No »), le premier James Bond de 1962.
D’une certaine façon, c’est la révélation au grand public de Sean Connery et l’annonce d’une brillante carrière à venir, quoiqu’il possède déjà un certain nombres de films à son actif, à en juger par la page qui lui est dédiée sur Internet Movie Database (https://www.imdb.com/name/nm0000125/). Alors âgé de 32 ans, Sean Connery restera associé pour la postérité au visage de l’espion britannique, qu’il incarne dans 6 films, de « Dr. No » en 1962 à « Les diamants sont éternels » (« Diamonds are Forever », thème musical de Shirley Bassey) en 1971. Un bon demi-siècle plus tard, il y a toujours débat sur le meilleur acteur d’un James Bond ; Sean Connery est forcément mentionné dans cette discussion, qu’il en soit ou non le premier choix.
Le personnage de Ian Fleming est de plus connu de chacun, peut-être dans le monde entier, et donc un choix idéal pour un des sujets de prédilection de mes portraits : la culture populaire, la mémoire et l’inconscient collectif sur plusieurs générations contemporaines. Cette photo (et peinture) peut ainsi symboliser l’évènement que représente le démarrage de la franchise cinématographique Bond, encore active aujourd’hui jusqu’à son 25ème opus en 2020 et comptant un nombre certainement élevé mondialement de connaisseurs, d’aficionados, de collectionneurs, etc.
Lorsque je dessine ce portrait en 2013, je m’y reprends à 2 fois pour le visage de Sean Connery, et comme le montrent les étapes ci-dessus, ce n’est toujours pas bon. Ce n’est qu’à la fin de la peinture (février 2019) que je parviens à enfin obtenir une ressemblance. Heureusement, la question de la ressemblance s’améliore petit à petit au fil des dessins suivants. Ces difficultés prouvent à nouveau qu’un mauvais dessin est dur à rattraper en peinture, s’il s’agit d’un enjeu. Pourquoi pas essayer de faire d’autres portraits de Sean Connery, peut-être est-il plus «facile » à dessiner en vieillissant, avec sa barbe caractéristique.
Le dégradé du fond est aussi une des raisons principales d’avoir choisi cette photo : une magnifique occasion de tester un dégradé en trames créées dans Photoshop, sur lesquelles je vais ensuite peindre.
Enfin, m’est venue l’idée d’ajouter dans ce dégradé tramé le logo original de 007 en défonce avec une légère transparence, une belle idée qui s’est révélée extrêmement pénible à peindre pour un résultat propre et convaincant.
Globalement, cela me donne envie de regarder à nouveau un bon vieux James Bond avec Sean Connery.
This painting is a portrait from the promotional photoshoot for « Dr. No » (« James Bond 007 vs Dr. No » in french) , the first James Bond movie in 1962.
This break-out movie propells Sean Connery’s still-ahead-of-him brilliant career, even though he has played in already quite a few movies at the time, as listed on his Internet Movie Database page (https://www.imdb.com/name/nm0000125/). 32 years-old at the time, Sean Connery will forever be one of the faces of the british spy, whose role he plays in 6 movies, from « Dr. No » in 1962 to « Diamonds are Forever » (musical theme by Shirley Bassey, « Les diamants sont éternels » in french) in 1971. Half a century later, the debate is still going strong about who the best James Bond actor might be; Sean Connery is sure to come up in that discussion, whether he’s first choice or not.
Furthermore, Ian Fleming’s character is known by probably everyone in the whole world today, thus an ideal candidate for one of the main topics of my portraits: popular culture, memory, and the collective unconscious over several contemporaneous generations. This picture (and now painting) may symbolize the event that is the start of the James Bond movie franchise, still very alive today as its 25th opus is set to be released in 2020, undoubtedly anticipated by a large number of connoisseurs, aficionados and collectors over the world.
When this portrait is drawn in 2013, getting Sean Connery’s face right is an issue, takes several tries, to no avail as you can see on the steps above. Even though I finally managed a recognizable Sean Connery when painting it (in February 2019), those difficulties prove once again it’s hard to correct a bad drawing with painting if such is the aim, and thankfully I may have gotten a little better at the exercise of drawing more faithful faces over the years. Maybe an older Sean Connery portrait might be easier to try, with his distinctive beard.
The background gradient is one of the main reasons for choosing this picture in the first place, as it’s a great opportunity to turn it into a Photoshop-created half-tone gradient over which I can then paint.
Lastly, the original 007 logo is added as a slightly transparent knockout to the gradient, an idea which happened to be rather painful to paint for a convincing and clean result.
Globally, it makes me feel like watching a good old James Bond movie with Sean Connery again.
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