M’étant procuré Fantastic Four #241 qui me manquait – merci Ebay – je peux continuer la lecture dans l’ordre des FF de Byrne.
Les bases sont posées, on sent que John Byrne s’est fait la main du #232 au #236, avec au début une narration un peu hésitante. L’épisode double anniversaire très convaincant avec Fatalis (le #236) peut être considéré comme un classique aujourd’hui, et peut-être même comme une des meilleures représentations du dictateur de Latvérie, arch-némésis des FF.
A partir du #238, on sent que l’histoire démarre, avec l’arrivée de Frankie Ray, la Torche au féminin. “Torchette”, c’aurait été pas mal, mais ca faisait peut-être trop Schtroumpf !
Bref, Byrne continue à alterner entre des épisodes légers mais bien menés (#241), et d’autres qui assurent la continuité de sa narration, de ce qu’il a prévu (#240, #242-243), et qui semblent annoncer clairement une volonté de revisiter l’épopée classique d’origine du “meilleur magazine de comics” de Stan Lee et Jack Kirby. Les clins d’oeil et les allusions aux premiers épisodes sont nombreux, et il serait difficile de ne pas remarquer les “reprises” des moments d’anthologie : les Inhumains, Galactus, manque plus que le Surfer et on est en 1966 !
Bref, j’apprécie, et j’ajoute les commentaires qui me viennent à l’esprit après la lecture de chaque épisode.
‘Nuff said!